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Dans son silence Paperback – 2 September 2019
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- LanguageFrench
- PublisherVOIR DE PRES
- Publication date2 September 2019
- Dimensions15.6 x 3.7 x 24 cm
- ISBN-102378281986
- ISBN-13978-2378281984
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Product details
- Publisher : VOIR DE PRES (2 September 2019)
- Language : French
- ISBN-10 : 2378281986
- ISBN-13 : 978-2378281984
- Item Weight : 739 g
- Dimensions : 15.6 x 3.7 x 24 cm
- Customer Reviews:
About the author

Alex Michaelides was born and raised in Cyprus. He has a MA in English Literature from Trinity College, Cambridge University, and a MA in Screenwriting from the American Film Institute in Los Angeles. The Silent Patient was his first novel. It spent over a year on the New York Times bestseller list and sold in a record-breaking 49 countries. He lives in London.
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Alors je ne peux que me limiter à vaguement introduire le cadre et quelques personnages.
L’histoire démarre (six ans avant le contenu du premier chapitre) dans une maison chic des environs de Londres. Gabriel travaille comme photographe de mode et connaît le grand succès. Il photographie des mannequins faméliques et vend ses photos à prix d’or. Evidemment, il n’a pas d’horaires, comment pourrait-il en être autrement ? Il est follement amoureux d’Alicia, 33 ans, une jeune peintre en vogue. Et elle aussi. Alors filent-ils le plus parfait amour ? Pas sûr.
Un soir en effet, une voisine (Barbie Hellmann) croit entendre ce qui ressemble à un coup de feu, peut-être même deux et elle prévient la police. On retrouve tant Alicia que Gabriel ensanglantés. Mais Alicia a l’arme du crime en mains et elle est accusée d’avoir assassiné son mari. Alicia se mure alors dans le silence et ne réalisera plus qu’un seul portrait (dans lequel elle se peint elle-même), celui d’Alceste.
Dans la mythologie, Alceste épouse Admète, grâce à l’aide de son ami Apollon et de la sœur de celui-ci Artémis. Conscient de l’aide apportée par Artémis (Admète était confronté à une épreuve redoutable pour pouvoir épouser sa dulcinée), Apollon l’invite à faire un sacrifice en l’honneur de sa sœur, le jour de son mariage. Mais Admète oublie et doit en conséquence mourir. Apollon plaide la cause de son ami auprès d’ Artémis, qui finit par céder à la condition qu’Admète trouve quelqu’un pour le remplacer dans le séjour des morts. Personne n’accepte : ni les parents, malgré leur grand âge, ni les amis, ni les prisonniers. Seule Alceste (à qui on n’a rien demandé) boit le poison et prend la place de son mari.
Comment comprendre qu’Alicia qui refuse de parler, se présente comme Alceste ? Qu’est-ce que cela signifie ? Après un procès (où elle est déclarée irresponsable), elle est envoyée dans une clinique psychiatrique où les patients – tous très particuliers – font l’objet de soins et de surveillance de chaque instant.
Quand commence l’histoire (racontée par un psychiatre à la première personne), Alicia séjourne dans cet établissement depuis six ans et elle n’a toujours rien dit. Absolument rien. Les psychiatres de l’établissement désespèrent de la faire parler (et d’expliquer son geste). Le narrateur s’appelle Théo Faber et s’est juré d’essayer d’y parvenir. Ainsi, il arrive à postuler un emploi de psychiatre dans cette clinique et le voilà « sur place ». L’institut est dirigé par une dame de 40 ans environ, Stéphanie Clarke dont l’obsession est la sécurité. Le psychiatre en chef est le professeur Diomedes, un excentrique, adepte de la thérapie de groupe. Dans l’établissement, Faber fait la connaissance de Yuri, un infirmier psychiatrique, avec qui il sympathise et d’une certaine Indira qui avait mené l’interview d’embauche et il reconnaît un ancien collègue psychiatre avec qui il avait eu des démêlés, un dénommé Christian, dont l’attitude dans l’institut est très ambiguë. Evidemment, les « pensionnaires » sont aussi toutes très particulières et on comprend aisément pourquoi le personnel soignant doit en permanence porte une alarme sur lui.
Faber a évidemment fort à faire pour tenter de parvenir à ses fins. Il faut cerner la personnalité d’Alicia et tenter de comprendre qui elle est et d’où elle vient. On découvre ainsi que la mère d’Alicia est morte dans un accident de voiture, qu’Alicia (petite fille) était dans la voiture ce jour-là, mais a survécu et que pour des raisons encore obscures, le père d’Alicia s’est suicidé peu de temps après la mort (est-ce bien une mort ?) de son épouse. Pourquoi le père d’Alicia se suicide-t-il est une énigme que Faber va aussi devoir essayer de comprendre.
De même, quel est ce lien trouble avec Max Berenson, le frère de Gabriel et avocat d’Alicia ? Surtout que le journal intime d’Alicia (une bonne trouvaille de l’auteur) révèle qu’Alicia était convaincue que Max était jaloux de son frère Gabriel et qu’il voulait apparemment tout lui prendre, y compris son épouse.
Et pourquoi Théo et Christian ont-ils eu ‘dans le temps’ des démêlés et leurs dialogues sont-ils remplis de sous-entendus ? Théo (le narrateur) n’est d’ailleurs pas sans souci lui-même: il est en couple (qui semble fusionnel) avec Kathy, une comédienne mais ne devrait-il pas plutôt prendre au sérieux les mails – très privés mais à caractère érotique -, qu’elle échange avec un dénommé Badboy22 ? Est-ce pour mieux ‘répéter’ son rôle d’actrice (elle répète le rôle de Desdémone dans Othello) ou y a-t-il raison de s’inquiéter ?
Qui trompe qui dans cette histoire ? Et qui est le patient et qui le psychiatre ?
Bonne lecture, n’ayez aucune crainte en achetant ce livre, vous en aurez pour votre argent. Et jamais, plus jamais, vous n’oublierez l’histoire.


Le brillant jeune psychothérapeute Théo Faber s'est donné pour mission de la faire parler, et donc, de comprendre son acte. Bien que promis à un avenir prestigieux, il préfère, dans ce but, se faire muter au Grove.
J'ai lu plusieurs critiques élogieuses de ce roman, et surtout celle de Kirzy, sur Babelio, qui m'a décidée à le lire.
Ce qui est très différent des autres livres du genre, c'est que, s'il y a bien un meurtre dans les premières pages, il ne s'agit pas ici d'une enquête à proprement parler. La coupable est connue, elle a été prise sur le fait. Il s'agit de démêler ses motivations.
Alex Michaelides nous emmène donc dans un lieu que nous n'avons guère envie de visiter : le « Grove », « un service de médecine pénitentiaire sécurisé situé dans le nord de Londres ». Il accueille des malades mentales, uniquement des femmes, qui sont aussi des délinquantes dangereuses.
Le lecteur n'en croisera que deux. La première est Alicia, l'un des personnages principaux. La seconde s'appelle Elif. Elle a assassiné froidement plusieurs membres de sa famille et apparaît comme particulièrement redoutable et inquiétante. Très agressive, elle se promène partout en brandissant une queue de billard cassée et se plaignant qu'on refuse de lui en fournir une neuve. On s'attend à tout moment à la voir attaquer quelqu'un avec cette arme improvisée. Lorsqu'Alicia a peint un tableau, Elif s'empressera de le vandaliser.
L'histoire est présentée à travers le regard de deux narrateurs. Théo, le psy qui s'intéresse au cas Alicia. Le deuxième, ou plutôt la deuxième, c'est Alicia. Mais, puisqu'elle est mutique, comment peut-elle nous donner sa version des faits, me direz-vous. Eh bien, c'est là une des originalités du roman : donner la parole à quelqu'un qui se mure « dans son silence ». Au fil des pages, l'auteur distille des extraits du carnet qu'Alcia se refusait à nommer son journal, par humilité, pour ne pas se comparer à des personnalités telles qu'Anne Franck ou Samuel Pepys. Et, en tant qu'artiste, Alicia utilise un autre mode d'expression : la peinture. Sa dernière œuvre s'intitule « Alceste » et se réfère à la tragédie éponyme d'Euripide. Bien que férue de mythologie antique, je n'en avais, pour ma part, jamais entendu parler. C'est pourtant capital, car l'épigraphe choisie par Alex Michaelides est tirée de cette œuvre (tout est bien expliqué dans le roman, rassurez-vous).
A de nombreuses reprises, Théo va contempler, examiner, analyser les tableaux de sa patiente. Il les décrit minutieusement et y découvre, à chaque visite, des détails qui lui avaient échappé.
Le travail du lecteur sera d'assembler patiemment les pièces du puzzle qui lui sont fournies, en complétant l'intrigue par divers témoignages de l'entourage d'Alicia : Barbie, sa voisine, Jean-Félix, son galeriste, Paul, son cousin, ou Max, son beau-frère.
L'auteur arrive à nous manipuler en jouant habilement sur la chronologie et nous amène ainsi à une surprise finale à laquelle, pour ma part, je ne m'attendais pas du tout (et je ne pense pas être la seule!)
Si la couverture nous promet un suspense haletant, j'ai trouvé, au contraire, qu'on avance pas à pas. Ce qui est surtout intéressant, c'est qu'Alex Michaelides fouille les replis de l'âme humaine, non seulement des principaux protagonistes, mais aussi des seconds rôles (Christian West, Max, Paul ou Lazare Diomedes), ainsi que celle des simples figurants (Yuri, Kathy ou Tanya).
C'est donc une lecture qui m'a plu.

Si vous aimez les thrillers psychologiques où les pièces du puzzle s’emboîtent parfaitement jusqu’à la dernière ligne, ce livre est fait pour vous. Pour moi, c’est un immense coup de cœur, une écriture finement ciselée, une histoire qui m’a retourné le cerveau.
C’est l’histoire d’Alicia qui est retrouvée par la police à côté du cadavre de son mari, ses mains sont pleines de sang, elle est jugée irresponsable et transférée dans un hôpital psychiatrique, elle ne dira plus un mot. Que s’est-il vraiment passé ? Malgré son mutisme, elle va nous dévoiler son histoire.
Lu en 2 jours, cette histoire est complètement addictive et terriblement bien écrite.

Ensuite...woaw woaw woaw!
Du pur thriller psy!
Du tout bon de chez tout bon!
Avec une fin bluffante!
Ma meilleure lecture depuis des mois